mardi 26 avril 2022

 Je roule dans des paysages aux jaunes acides, c'est le printemps et le colza.





Le 16 avril, j'arrive à Arçay dans le marais poitevin.
C'est charmant, vert, bucolique. Un pays de douceur et de tranquillité : même l'eau des innombrables canaux semble immobile.
Ici on cultive l'angélique et la moguette, un fayot blanc.



Je découvre Brouage, une forteresse cernée de marais, elle aussi, puis, puisqu'il y a un pont, l'île d'Oléron, où je retrouve Bénédicte, une "échoppière" de Terrasson ( Dordogne), récemment installée ici.



L'île est plate, et pénétrée de canaux exploités.

 C'est agréable : ici l'eau est autour et au dedans des terres. De pittoresques cabanes colorées, construites sur pilotis s'extraient de la vase marronnasse.



Je repars vers le Sud et suis très bien accueillie à Blaye dans un superbe domaine viticole, "le Marquis de Vauban", bâti sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde. Nom coquet : Vauban n'était pas marquis.

Si j'avais plus de temps, je resterais dans ces vignes aux crus prestigieux; j'embarquerais pour le Médoc que l'on voit de l'autre côté du fleuve.

A Blaye, il y a aussi une grande citadelle qui protège un joli hameau. C'est à voir, et à goûter !


Le 22, je retrouve Maïté et André Bonis sur la côte d'argent à Arcachon. 

festives retrouvailles!


Maïté me montre le côté sud du bassin. Arcachon, Biganos, la pointe de l'aiguillon. Alternance de grandes plages au sable doré et de côtes vouées à l'ostréoculture.
Très beaux endroits.


Demain, le 27, je rejoins Pau, où mon garçon Pierre nous invite à festoyer pour son pacs avec Anaïs, jolie  et adorable paloise!
















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